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Table des matières d'un guide de conversation japonais-allemand acheté par des réfugiés juifs allemands peu après leur arrivée au Japon. Ce guide de conversation propose des expressions utiles en japonais pour les voyages, les séjours dans les hôtels, la nourriture et les achats au Japon. Japon, 1940-1941. [Exposition spéciale USHMM : Vol et sauvetage.]
Cette affiche de Munich, en Allemagne, annonce pour le 1er avril 1933 un boycott des commerces juifs et des services offerts par les professionnels juifs. Elle appelle tous les Allemands à respecter le boycott qui doit commencer à 10 heures du matin. L'affiche est signée par Julius Streicher, antisémite nazi radical, organisateur officiel du boycott.
L'un des principaux documents utilisés pour calculer le nombre de morts dans le programme nazi d'« euthanasie » est ce registre découvert par les troupes américaines en 1945 dans un meuble fermé à clé sur un site de mise à mort à Hartheim, en Autriche. La page de droite donne le nombre de patients « désinfectés » par mois en 1940. La dernière colonne indique que 35 224 personnes ont été assassinées cette année-là.
Affiche de propagande antisémite comparant les Juifs à des maladies. Légende : « Tuberculose, syphilis, cancer sont guérissables… Il faut en finir avec le plus grand des fléaux : le Juif ! »
Affiche électorale ayant pour slogan : « Nous les ouvriers nous sommes réveillés : nous votons pour la liste nationale-socialiste no. 2. », 1932.
Affiche électorale ayant pour slogan : « Les électeurs choisissent la liste no. 1 : le national-socialisme », 1932-1933.
Affidavit signé par Rudolf Höss, attestant le gazage des Juifs alors qu'il exerçait la fonction de commandant au centre de mise à mort d'Auschwitz. Le texte allemand dit : « Je soussigné déclare sous serment que de 1941 à 1943, alors que j'exerçais la fonction de commandant du camp de concentration d'Auschwitz, 2 millions de Juifs ont été gazés et 500 000 autres ont été mis à mort par d'autres moyens. Rudolf Höss. 14 mai 1946. » La confession est également signée par Josef Maier, du…
Annoncé rédigée pour les soldats américains. Ce schéma, publié dans l'édition étrangère de « Newsmap for the Armed Forces » détaille les chefs d'accusation contre les accusés de Nuremberg. 1945.
La bible familiale montrée ici appartenait à André Trocmé et contient les annotations qu'il y inscrivit en préparant ses sermons. Trocmé était un pasteur protestant au Chambon-sur-Lignon, en France. Pendant la guerre, il aida, avec les habitants de la ville, à protéger des Juifs, entre autres, et particulièrement des enfants, contre les Allemands. L'opération permit de sauver des milliers de réfugiés, dont environ 5 000 Juifs. Une partie de son inscription dit : « Heureux ceux qui ont faim et…
Cette carte accompagnait un rapport allemand secret et non daté sur l'extermination massive des Juifs par l'Einsatzgruppen A (unité mobile d'extermination A). Pendant les procès devant le Tribunal militaire international, la carte fut produite comme preuve par les procureurs américains et britanniques. Le document, intitulé « Exécutions juives réalisées par l'Einsatzgruppen A » et estampillé « Affaire secrète du Reich », montre le nombre de Juifs exécutés (symbolisés par des cercueils)…
Carte réservée aux visiteurs de la galerie du Tribunal militaire international de Nuremberg. Ces cartes étaient souvent partagées entre plusieurs personnes, qui se relayaient pour assister à ces procès historiques.
Le major général SS Juergen Stroop, le commandant des forces allemandes qui a étouffé le soulèvement du ghetto de Varsovie, a fait un album de photos (entre autres documents). Cet album, par la suite baptisé « Le rapport Stroop », a été utilisé comme preuve au Tribunal militaire international de Nuremberg, comme le montre le tampon sur la couverture.
Couverture d'un programme polycopié, distribué au Tribunal militaire international de Nuremberg.
Ce numéro de 1934 de Der Stuermer, journal semi-officiel et violemment antisémite de l'Allemagne nazie, met en garde contre un programme juif visant à dominer le monde. L'article, intitulé « Qui est l'ennemi ? », accuse les Juifs de détruire l'ordre social et affirme qu'ils souhaitent la guerre alors que le reste du monde veut la paix. Der Stuermer, juillet 1934.
Première page d'une liste d'accusés devant le Tribunal militaire international de Nuremberg. Ces informations apparaissent dans un programme polycopié distribué au TMI. Cette page comprend les noms d'Hermann Göring, Rudolf Hess, Joachim von Ribbentrop et Alfred Rosenberg, chacun accompagné d'une brève biographie.
Troisième page d'une liste d'accusés devant le Tribunal militaire international de Nuremberg. Ces informations apparaissent dans un programme polycopié distribué au TMI. Cette page comprend les noms de Julius Streicher, Wilhelm Keitel, Walter Funk et Hjalmar Schacht, chacun accompagné d'une brève biographie.
Quatrième page d'une liste d'accusés devant le Tribunal militaire international de Nuremberg. Ces informations apparaissent dans un programme polycopié distribué au TMI. Cette page comprend les noms de Hjalmar Schacht, Karl Dönitz, Baldur von Schirach, Fritz Sauckel et Albert Speer, chacun accompagné d'une brève biographie.
Page 5 du programme du Tribunal militaire internationalCinquième page d'une liste d'accusés devant le Tribunal militaire international de Nuremberg. Ces informations apparaissent dans un programme polycopié distribué au TMI. Cette page comprend les noms d'Albert Speer, Franz von Papen, Alfred Jodl, Konstantin von Neurath, Artur Seyss-Inquart, Erich Raeder et Hans Fritzsche, chacun accompagné d'une brève biographie.
Plan de la salle d'audience. Ce plan se trouvait dans un programme polycopié distribué au Tribunal militaire international de Nuremberg. 1945.
Dans cet article du London Times, le journaliste Philip Graves compare des passages du Dialogue aux enfers entre Machiavel et Montesquieu (1864), de Maurice Joly, aux Protocoles des Sages de Sion pour prouver que ces derniers sont un plagiat. D'autres enquêtes révéleront qu'un chapitre de Biarritz, du romancier prussien Hermann Goedsche (1868), a également « inspiré » les Protocoles. Times (Londres), 17 août 1921.
Dans cet article du London Times, le journaliste Philip Graves compare des passages du Dialogue aux enfers entre Machiavel et Montesquieu (1864), de Maurice Joly, aux Protocoles des Sages de Sion pour prouver que ces derniers sont un plagiat. D'autres enquêtes révéleront qu'un chapitre de Biarritz, du romancier prussien Hermann Goedsche (1868), a également « inspiré » les Protocoles. Times (Londres), 17 août 1921.
Dans cet article du London Times, le journaliste Philip Graves compare des passages du Dialogue aux enfers entre Machiavel et Montesquieu (1864), de Maurice Joly, aux Protocoles des Sages de Sion pour prouver que ces derniers sont un plagiat. D'autres enquêtes révéleront qu'un chapitre de Biarritz, du romancier prussien Hermann Goedsche (1868), a également « inspiré » les Protocoles. Times (Londres), 17 août 1921.
Dans cet article du London Times, le journaliste Philip Graves compare des passages du Dialogue aux enfers entre Machiavel et Montesquieu (1864), de Maurice Joly, aux Protocoles des Sages de Sion pour prouver que ces derniers sont un plagiat. D'autres enquêtes révéleront qu'un chapitre de Biarritz, du romancier prussien Hermann Goedsche (1868), a également « inspiré » les Protocoles. Times (Londres), 17 août 1921.
Dans cet article du London Times, le journaliste Philip Graves compare des passages du Dialogue aux enfers entre Machiavel et Montesquieu (1864), de Maurice Joly, aux Protocoles des Sages de Sion pour prouver que ces derniers sont un plagiat. D'autres enquêtes révéleront qu'un chapitre de Biarritz, du romancier prussien Hermann Goedsche (1868), a également « inspiré » les Protocoles. Times (Londres), 17 août 1921.
L'armée allemande occupa Cracovie, en Pologne, au mois de septembre 1939. En mars 1941, les Allemands ordonnèrent la création d'un ghetto à Cracovie. Dans ces images, on peut voir des Juifs polonais forcés à s'installer dans le ghetto. Ils portent les brassards obligatoires, utilisés pour distinguer la population juive du reste des habitants de la ville. Fin 1941, 18 000 Juifs étaient emprisonnés dans le ghetto de Varsovie.
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