Parcourez une liste alphabétique de photographies. Ces images historiques montrent des gens, des endroits et des événements d'avant, pendant et après la Seconde Guerre mondiale et la Shoah.
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Baraques au camp d’Auschwitz-Birkenau. Cette photo a été prise après la libération du camp. Auschwitz-Birkenau, Pologne, après le 29 janvier 1945.
Baraques dans la carrière du camp de concentration de Natzweiler-Struthof. Natzweiler, France, après le 7 avril 1945.
Baraques dans le camp de Mauthausen. Autriche, mai 1945, après la libération.
Baraques dans le camp de personnes déplacées juives d’Ebelsberg. Ebelsberg, Autriche, juillet 1947.
Baraques des détenus au camp de concentration de Flossenbürg, telles qu’en l’état après la libération du camp par les forces américaines. Flossenbürg, Allemagne, 5 mai 1945.
Baraques du camp des femmes au camp d’Auschwitz-Birkenau. Pologne, 1944.
Bataillons de combattants de rue nazis saluant Hitler au cours d’un défilé des SA (Sturmabteilung, section d’assaut) dans les rues de Dortmund. Allemagne, 1933.
Beaucoup des tout premiers camps de concentration étaient improvisés. Ici, on procède à l’appel des détenus politiques à bord d’un bateau utilisé en tant que camp de concentration flottant. Camp d’Ochstumsand, près de Brême, Allemagne, 1933 ou 1934.
Bernburg, l’un des six principaux centres d’assassinat par “euthanasie.” Allemagne, date incertaine.
Bert et Anne Bochove, qui cachèrent 37 Juifs dans leur pharmacie à Huizen, une banlieue d’Amsterdam, posent ici avec leurs enfants. Tous deux ont été déclarés “Juste parmi les Nations.” Pays-Bas, 1944 ou 1945.
Biens de Juifs qui furent déportés de Vienne. Autriche, 1941-1942.
Boîtes de matsot (pain azyme) dans un entrepôt du Joint (le Joint Distribution Committee, organisation caritative juive américaine - JDC) avant leur distribution à des survivants juifs dans le camp de personnes déplacées. Lieu incertain, après-guerre.
Breckinridge Long (1881-1958), secrétaire d’Etat adjoint avec autorité sur les problèmes d’immigration et de réfugiés durant la Shoah. Washington D.C., Etats-Unis, août 1943.
Brosses à cheveux de victimes, trouvées peu après la libération d'Auschwitz. Pologne, après le 27 janvier 1945.
Bureaux du Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR) à Arusha, en Tanzanie.
Bus utilisés pour le transport de patients d’un hôpital public près de Wiesbaden vers le centre “d’euthanasie” de Hadamar, où les patients étaient gazés ou tués par injection mortelle. Allemagne, entre mai et septembre 1941.
Bus utilisés pour le transport de patients vers le centre d’”euthanasie” d’Hadamar. Les fenêtres étaient peintes pour empêcher les gens de voir les personnes à l’intérieur. Allemagne, entre mai et septembre 1941.
Bébés polonais, sélectionnés pour leurs traits “aryens”, pour être adoptés et élevés en tant qu’Allemands ethniques. Pologne, pendant la guerre.
Cadavres de détenus du camp de concentration de Klooga entassés pour être brûlés. Les troupes soviétiques découvrirent les corps lorsqu’ils libérèrent le camp. Estonie, septembre 1944.
Cadavres de détenus du camp de concentration de Klooga entassés pour être brûlés. Les troupes soviétiques découvrirent les corps lorsqu’ils libérèrent le camp. Estonie, septembre 1944.
Cadavres de détenus découverts par les troupes soviétiques au camp de travaux forcés de Klooga. Des gardes nazis et leurs collaborateurs estoniens avaient exécuté les détenus puis les avaient entassés pour les brûler. Estonie, septembre 1944.
Cadavres de prisonniers de guerre soviétiques. Lieu et date incertains.
Cadavres découverts lorsque les troupes américaines libérèrent le camp de Gusen, un sous-camp du réseau de camps de concentration de Mauthausen. Autriche, après le 12 mai 1945.
Cadavres découverts par des soldats américains après la libération de du camp de Gunskirchen , un sous-camp du réseau de camps de concentration de Mauthausen. Autriche, après le 5 mai 1945.
Camp de concentration de Neuengamme : internés au travail forcé construisant le canal Dove-Elbe, Allemagne, 1938-1945.
Vue de Zbaszyn, un camp de réfugiés juifs de nationalité polonaise renvoyés d’Allemagne. Après leur expulsion, on leur refusent le droit d’entrer en Pologne et ils se retrouvent bloqués à la frontière, souffrant de la faim et du froid. Photographie prise entre le 28 octobre 1938 et le mois d’août 1939. Emanuel Ringelblum, historien, activiste politique et travailleur social basé à Varsovie, passe cinq semaines à Zbaszyn pour organiser une assistance aux réfugiés bloqués à la…
Un ouvrier non identifié marche le long des rails au camp de travail d'Im-Fout, au Maroc. Les conditions de vie étaient pénibles dans le camp et beaucoup de travailleurs y attrapaient le typhus. Im-Fout, Maroc, 1941-42.
Camp de travaux forcés pour les Tsiganes. Lety, Tchécoslovaquie, pendant la guerre.
Camp d’été à Long Island pour les jeunes membres du “German-American Bund“, un parti américain pro-nazi. New-York, Etats-Unis, 1938.
Camp tsigane dans le ghetto de Lodz. Pologne, 1941-1944.
Carl Clauberg, médecin nazi qui procéda à des expériences médicales sur les détenus au bloc 10 du camp d’Auschwitz. Lieu et date incertains.
Carl Goerdeler, ancien maire de Leipzig et l’un des chefs de la conspiration de juillet 1944 pour assassiner Hitler, comparaît devant le Volksgerichtshof (Tribunal du peuple) à Berlin. Il fut condamné et exécuté à la prison de Ploetzensee le 2 février 1945. Berlin, Allemagne, 1944.
Carl Heinrich Langbehn, un avocat qui était susceptible d’obtenir un cabinet ministériel si la tentative d’attentat de juillet 1944 contre Hitler avait réussi, comparaît devant le Volksgerichtshof (Tribunal du peuple) à Berlin. Langbehn fut exécuté à la prison de Ploetzensee le 12 octobre 1944.
Carrière du camp de concentration de Mauthausen. Autriche, date incertaine.
Carrière du camp de concentration de Mauthausen. Autriche, après 1945.
Carte d’embarquement du Dr Walter Weissler pour son voyage à bord du “Saint Louis” d’Hambourg à la Havane. Lorsque les autorités cubaines refusèrent l’entrée aux passagers, Weissler rentra en France, où il survécut en se cachant. Il est mort à Paris en 1996. Hambourg, Allemagne. Date du passeport, 13 mai 1939.
Carte d’identité de Berthe Levy Cahen, émise par la police française à Lyon, porte le tampon “Juif.” France, 7 août 1942.
Carte postale allemande montrant l’entrée du ghetto de Lodz. La pancarte dit “Zone de résidence juive - entrée interdite.” Lodz, Pologne, 1940-1941.
Carte postale d'une pension au Chambon qui servait de foyers de réfugiés pour protéger les enfants contre les nazis. Le Chambon-sur-Lignon, France, date incertaine.
Carte postale montrant une foule d'Allemands faisant le salut nazi. En haut, une photo agrandie d'Hitler et d'un soldat de la SA. Munich, Allemagne, vers 1932.
Cartes postales officielles utilisées par les détenus du camp de concentration d’Esterwegen. Le texte à gauche donne des instructions et des restrictions aux détenus sur ce qui peut être envoyé ou reçu par courrier. Allemagne, 14 août 1935.
Ce bâtiment dans la ville d’Elverum, près d’Oslo, fut endommagé au cours d’un raid de bombardement à la suite de l’invasion allemande de la Norvège. Elverum, Norvège, 3 mai 1940.
Ce complexe de plusieurs étages servit en tant que camp de transit de Drancy. L’écrasante majorité des Juifs déportés de France y furent détenus avant leur déportation. Drancy, France, 1941-1944.
Centre d’”euthanasie” de Kaufbeuren. Allemagne, 1945.
Cercueils abritant les corps de Juifs tués dans le pogrom de Kielce. Pologne, 6 juillet 1946.
Cette affiche exhorte les Juifs : “Protégez les intérêts juifs. N’achetez pas à nos ennemis. Ne regardez pas leurs films.” Hongrie, 1937-1938.
Cette image provient d’un film produit par le ministère de la Propagande du Reich. Elle montre des patients dans un asile non identifié. Leur existence est décrite ainsi : “Une vie sans espoir.” Les nazis cherchaient à travers la propagande à développer la sympathie du public pour le programme d’”euthanasie.”
Cette image provient d’un film produit par le ministère de la Propagande du Reich. Elle a pour légende : “Une conception morale et religieuse de la vie exige que ceux qui sont malades héréditaires ne soient pas autorisés à se reproduire.” Propagande nazie destinée à engendre le soutien de l’opinion publique pour le programme d’”euthanasie.”
Cette photo provient d’un film produit par le ministère de la Propagande du Reich. Elle montre deux docteurs dans la salle de garde d’un asile non identifié. L’existence des patients dans la salle de garde est décrite ainsi : “La vie n’est qu’un fardeau.” De telles images de propagande avaient pour objectif de développer la sympathie du public pour le programme d’”euthanasie.”
Cette traduction en arabe des Protocoles d'Ajaj Nuwayid a également été mise en ligne sur un site web sponsorisé par le Service d'information de l'État palestinien. Publié à Beyrouth, au Liban, 1996
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