Parcourez une liste alphabétique de photographies. Ces images historiques montrent des gens, des endroits et des événements d'avant, pendant et après la Seconde Guerre mondiale et la Shoah.
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Vue de Zbaszyn, un camp de réfugiés juifs de nationalité polonaise renvoyés d’Allemagne. Après leur expulsion, on leur refusent le droit d’entrer en Pologne et ils se retrouvent bloqués à la frontière, souffrant de la faim et du froid. Photographie prise entre le 28 octobre 1938 et le mois d’août 1939. Emanuel Ringelblum, historien, activiste politique et travailleur social basé à Varsovie, passe cinq semaines à Zbaszyn pour organiser une assistance aux réfugiés bloqués à la…
Un ouvrier non identifié marche le long des rails au camp de travail d'Im-Fout, au Maroc. Les conditions de vie étaient pénibles dans le camp et beaucoup de travailleurs y attrapaient le typhus. Im-Fout, Maroc, 1941-42.
Camp de travaux forcés pour les Tsiganes. Lety, Tchécoslovaquie, pendant la guerre.
Camp d’été à Long Island pour les jeunes membres du “German-American Bund“, un parti américain pro-nazi. New-York, Etats-Unis, 1938.
Camp tsigane dans le ghetto de Lodz. Pologne, 1941-1944.
Carl Clauberg, médecin nazi qui procéda à des expériences médicales sur les détenus au bloc 10 du camp d’Auschwitz. Lieu et date incertains.
Carl Goerdeler, ancien maire de Leipzig et l’un des chefs de la conspiration de juillet 1944 pour assassiner Hitler, comparaît devant le Volksgerichtshof (Tribunal du peuple) à Berlin. Il fut condamné et exécuté à la prison de Ploetzensee le 2 février 1945. Berlin, Allemagne, 1944.
Carl Heinrich Langbehn, un avocat qui était susceptible d’obtenir un cabinet ministériel si la tentative d’attentat de juillet 1944 contre Hitler avait réussi, comparaît devant le Volksgerichtshof (Tribunal du peuple) à Berlin. Langbehn fut exécuté à la prison de Ploetzensee le 12 octobre 1944.
Carrière du camp de concentration de Mauthausen. Autriche, date incertaine.
Carrière du camp de concentration de Mauthausen. Autriche, après 1945.
Carte d’embarquement du Dr Walter Weissler pour son voyage à bord du “Saint Louis” d’Hambourg à la Havane. Lorsque les autorités cubaines refusèrent l’entrée aux passagers, Weissler rentra en France, où il survécut en se cachant. Il est mort à Paris en 1996. Hambourg, Allemagne. Date du passeport, 13 mai 1939.
Carte d’identité de Berthe Levy Cahen, émise par la police française à Lyon, porte le tampon “Juif.” France, 7 août 1942.
Carte postale allemande montrant l’entrée du ghetto de Lodz. La pancarte dit “Zone de résidence juive - entrée interdite.” Lodz, Pologne, 1940-1941.
Carte postale d'une pension au Chambon qui servait de foyers de réfugiés pour protéger les enfants contre les nazis. Le Chambon-sur-Lignon, France, date incertaine.
Carte postale montrant une foule d'Allemands faisant le salut nazi. En haut, une photo agrandie d'Hitler et d'un soldat de la SA. Munich, Allemagne, vers 1932.
Cartes postales officielles utilisées par les détenus du camp de concentration d’Esterwegen. Le texte à gauche donne des instructions et des restrictions aux détenus sur ce qui peut être envoyé ou reçu par courrier. Allemagne, 14 août 1935.
Ce bâtiment dans la ville d’Elverum, près d’Oslo, fut endommagé au cours d’un raid de bombardement à la suite de l’invasion allemande de la Norvège. Elverum, Norvège, 3 mai 1940.
Ce complexe de plusieurs étages servit en tant que camp de transit de Drancy. L’écrasante majorité des Juifs déportés de France y furent détenus avant leur déportation. Drancy, France, 1941-1944.
Centre d’”euthanasie” de Kaufbeuren. Allemagne, 1945.
Cercueils abritant les corps de Juifs tués dans le pogrom de Kielce. Pologne, 6 juillet 1946.
Cette affiche exhorte les Juifs : “Protégez les intérêts juifs. N’achetez pas à nos ennemis. Ne regardez pas leurs films.” Hongrie, 1937-1938.
Cette image provient d’un film produit par le ministère de la Propagande du Reich. Elle montre des patients dans un asile non identifié. Leur existence est décrite ainsi : “Une vie sans espoir.” Les nazis cherchaient à travers la propagande à développer la sympathie du public pour le programme d’”euthanasie.”
Cette image provient d’un film produit par le ministère de la Propagande du Reich. Elle a pour légende : “Une conception morale et religieuse de la vie exige que ceux qui sont malades héréditaires ne soient pas autorisés à se reproduire.” Propagande nazie destinée à engendre le soutien de l’opinion publique pour le programme d’”euthanasie.”
Cette photo provient d’un film produit par le ministère de la Propagande du Reich. Elle montre deux docteurs dans la salle de garde d’un asile non identifié. L’existence des patients dans la salle de garde est décrite ainsi : “La vie n’est qu’un fardeau.” De telles images de propagande avaient pour objectif de développer la sympathie du public pour le programme d’”euthanasie.”
Cette traduction en arabe des Protocoles d'Ajaj Nuwayid a également été mise en ligne sur un site web sponsorisé par le Service d'information de l'État palestinien. Publié à Beyrouth, au Liban, 1996
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