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L’une des dix boîtes métalliques dans lesquelles une partie des archives Oneg Shabbat, ou Archives Ringelblum, dans le ghetto de Varsovie, ont été cachées et enterrées. C’est à l’Institut historique juif de Varsovie qu’elles sont actuellement conservées.
L’un des bidons de lait utilisés par l’historien du ghetto de Varsovie, Emanuel Ringelblum, pour préserver les archives secrètes du ghetto, « Oneg Shabbat ». Identifié comme le n° 2, il a été découvert au 58, rue Nowolipki, à Varsovie, le 1er décembre 1950.
Sauf-conduit délivré à Hans Landesberg au camp d'internement de Djelfa, lui permettant de se rendre à Alger. Djelfa, Algérie, 26 janvier 1943. Hans est né à Vienne (Autriche) et a étudié la médecine. Après avoir obtenu son diplôme, il est parti à Paris où il a rejoint un bataillon de la Brigade internationale qui allait combattre dans la guerre civile espagnole. Il est revenu en France en février 1939, mais a été immédiatement interné à Argelès puis à Gurs. Quelque temps après la…
Pendant la Seconde Guerre mondiale, les gens se procuraient souvent de nouvelles identités et de faux papiers pour échapper aux autorités nazies. Pour les résistants, ceux qui leur venaient en aide et les Juifs qui cherchaient à passer pour des non-Juifs, une fausse identité s’avérait cruciale. Les documents devaient être de qualité suffisante pour être convaincants, ce qui nécessitait la coopération clandestine de dizaines de personnes. Il fallait également du matériel sophistiqué de…
Pendant la Seconde Guerre mondiale, les gens se procuraient souvent de nouvelles identités et de faux papiers pour échapper aux autorités nazies. Pour les résistants, ceux qui leur venaient en aide et les Juifs qui cherchaient à passer pour des non-Juifs, une fausse identité s’avérait cruciale. Les documents devaient être de qualité suffisante pour être convaincants, ce qui nécessitait la coopération clandestine de dizaines de personnes. Il fallait également du matériel sophistiqué de…
Pendant la Seconde Guerre mondiale, les gens se procuraient souvent de nouvelles identités et de faux papiers pour échapper aux autorités nazies. Pour les résistants, pour ceux qui leur venaient en aide et les Juifs qui cherchaient à passer pour des non-Juifs, une fausse identité s’avérait cruciale. Les documents devaient être de qualité suffisante pour être convaincants, ce qui nécessitait la coopération clandestine de dizaines de personnes. Il fallait également du matériel sophistiqué de…
Le 25 mai 1939, l'artiste Moritz Schoenberger envoya ce "radiogramme" (télégramme envoyé par radio) du paquebot "St. Louis" pendant le voyage de Hambourg, en Allemagne, vers La Havane, à Cuba. Lors de ce voyage, le "St. Louis" transporta plus de 900 réfugiés juifs qui fuyaient les persécutions nazies. Le télégramme dit, en partie, "Remis et revigoré physiquement et moralement, devrais atteindre La Havane samedi. Argent reçu. Merci beaucoup. Bises. Papa." L'optimisme de Schoenberger s'avéra…
Article du San Francisco Chronicle intitulé "La tragédie des réfugiés" . Cet article se basa sur une interview de Moses Beckelman, membre du Comité de distribution conjoint juif américain, qui était une organisation d'aide. Cet article traitait de la surpopulation des réfugiés polonais et lituaniens bloqués à Shanghai, Kobe (Japon) et Lisbonne (Portugal), qui étaient des étapes du voyage vers l'Amérique du Nord et du Sud. La cause principale de cette impasse était le manque de visas de…
Les autorités de Berlin, en Allemagne, envoyèrent cet avis à Barbara Wohlfahrt, l'informant de l'exécution de son mari Gregor dans la matinée du 7 décembre 1939. Bien qu'il fût physiquement inapte au service dans les forces armées, les Nazis jugèrent Wohlfahrt pour son opposition religieuse au service militaire. En tant que Témoin de Jéhovah, Wohlfahrt estimait que le service militaire violait le commandement biblique qui interdit de tuer. Le 8 novembre 1939, une cour martiale condamna Wohlfahrt…
Les autorités de police allemande délivrèrent ce passeport à Erna "Sara" Schlesinger le 8 juillet 1939, à Berlin. La première page de ce passeport est une illustration des lois allemandes qui facilitaient l'identification des Juifs en Allemagne. A partir de 1938, la législation allemande exigea que toute femme juive utilisât le second prénom "Sara" sur tous les documents officiels. Les hommes juifs devaient quant à eux ajouter le prénom "Israel". La lettre "J" (initiale de "Jude", le mot…
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