<< Précédent | Affichage des résultats 3501-3545 sur 3545 pour "" | Suivant >>
Un ouvrier non identifié marche le long des rails au camp de travail d'Im-Fout, au Maroc. Les conditions de vie étaient pénibles dans le camp et beaucoup de travailleurs y attrapaient le typhus. Im-Fout, Maroc, 1941-42.
Portrait en plan rapproché de deux prisonniers dans le camp de travail d'Im-Fout, situé à moins de cent kilomètres au sud-ouest de Casablanca. Quelques ouvriers étrangers y vivaient, dont beaucoup tombaient malades en raison des conditions de vie médiocres. Im-Fout, Maroc, 1941-42.
Laurette Cohen (devant à droite) pose avec ses élèves dans l'école d'une Alliance israélite au Maroc. 1935. Laurette est née à Oran, en Algérie, en 1911. En 1932, elle épouse Prosper Cohen (né à Meknès en 1909), enseignant comme elle à l'Alliance israélite universelle au Maroc. Leur fille Mathilde naît à Tanger le 31 août 1933. Jusqu'en 1939, la famille vit à Meknès et Fez, puis Laurette et Prosper sont envoyés dans des villes où l'on avait plus besoin d'eux. En 1938, Prosper avait…
Photographie du mariage de Reine et Yishua Ghozlan avant-guerre à Constantine (Algérie), le 29 mars 1932. Le couple subit l'antisémitisme dans les années d'avant-guerre, et en 1933, Reine et Yishua survivent à un pogrom en se cachant chez des amis français et chrétiens. Quand la Seconde Guerre mondiale commence, Yishua est renvoyé de son travail dans un bureau de poste. Reine, Yishua et leurs enfants sont expropriés de leur appartement.
Reine (assise sur le rebord de fenêtre) et Yishua Ghozlan (debout) se sont mariés à Constantine, en Algérie, le 29 mars 1932. Ils posent ici avec deux parentes. Le couple subit l'antisémitisme dans les années d'avant-guerre, et en 1933, Reine et Yishua survivent à un pogrom en se cachant chez des amis français et chrétiens. Quand la Seconde Guerre mondiale commence, Yishua est renvoyé de son travail dans un bureau de poste. Reine, Yishua et leurs enfants sont expropriés de leur appartement.
Joseph Roger Cheraki pose en uniforme de soldat algérien, vers 1935. Joseph a épousé Elizabeth Seiberl le 27 octobre 1936 à Alger. En 1941, il perd son emploi, son fils Alfred est renvoyé de l'école, et le couple doit vendre la maison. En 1942, Joseph, Elizabeth et leurs fils Alfred et Jacques sont contraints de porter l'étoile jaune. Les garçons jettent des pierres aux deux enfants. Joseph est envoyé dans un camp de travail forcé pendant quelques mois, puis est enfin libéré. En 1946, la…
Un groupe d'écolières tunisiennes en tablier. Nadia Cohen se trouve au premier rang, troisième sur la gauche. Tunis, Tunisie, vers 1930-1935. Nadia Cohen est née le 17 janvier 1924 à Tunis. Ses parents viennent de familles orthodoxes, mais son père a quitté la yeshiva (école juive) à 7 ans pour étudier l'italien, l'arabe et la comptabilité dans un établissement français. En 1938, Nadia est envoyée dans un pensionnat en France. Après une visite chez elle à l'été 1939, c'est la guerre et…
Terese Cohen, Tunisienne juive, pose avec ses deux enfants, Nadia et Marcel. Tout de suite après le débarquement allié en Algérie et au Maroc, les Allemands occupent la Tunisie. Un officier SS se rend chez les Cohen et confisque tous leurs biens, ne laissant qu'une table et des chaises pour les Allemands. Ceux-ci donnent une journée à la famille pour partir et l'exproprient pour faire de leur foyer une caserne pour les soldats.
Un mariage juif au Maroc, 1942. Photographie : US Holocaust Memorial Museum, avec l'autorisation du YIVO, Institut pour la recherche juive
Cette photo a été prise au cours du voyage de Bluma (Kleinhandler) et Zygmunt Godzinski de la Pologne en Argentine. Casablanca, Maroc, 1946.
Des enfants se tiennent au garde-à-vous lors d'une cérémonie du drapeau à la colonie d'été d'Ayindram Betar. Tunisie, 1946.
Avraham Tory, secrétaire du Conseil juif du ghetto de Kovno et Zvi Brik, gérant d’atelier (à gauche), dans le cimetière du ghetto de Kovno. Kovno, Lituanie, 1943.
Photographie d'Esther Lurie et d’un de ses amis, José, tout deux étudiants à l’Institut des arts de Bruxelles. Ici, ils prennent des rafraîchissements sur une terrasse, au début des années 1930. Esther Lurie fuira l’Europe juste avant que la guerre éclate. Bruxelles, Belgique, 1931–1933.
Jan Karski et le général Colin Powell se rencontrent lors de la cérémonie d’ouverture du US Holocaust Memorial Museum (Musée commémoratif américain de l’Holocauste). Washington DC, 22 avril 1993.
Jan Karski, courrier clandestin du gouvernement polonais en exil. Au cours de l’automne 1942, il informe l’Occident des atrocités commises par les nazis contre les Juifs en Pologne. Washington DC, États-Unis, 1943.
Portrait de Janusz Korczak, médecin et auteur juif polonais, directeur d’un orphelinat juif à Varsovie, vers 1930.
Vue extérieure de l’orphelinat juif dirigé par Janusz Korczak. Fondé en 1912, l’établissement était situé au 92, rue Krochmalna, à Varsovie, en Pologne. Photo prise vers 1935.
Sculpture murale à la mémoire du médecin juif polonais Janusz Korczak située à l’extérieur d’un hôpital universitaire qui porte son nom à Olsztyn, en Pologne.
Une paire de chaussures abandonnée après une opération de déportation des habitants du ghetto de Kovno. Le photographe George Kadish a intitulé cette photo « Le corps est parti ». Kovno, Lituanie, vers 1943.
Vue de Zbaszyn, un camp de réfugiés juifs de nationalité polonaise renvoyés d’Allemagne. Après leur expulsion, on leur refusent le droit d’entrer en Pologne et ils se retrouvent bloqués à la frontière, souffrant de la faim et du froid. Photographie prise entre le 28 octobre 1938 et le mois d’août 1939. Emanuel Ringelblum, historien, activiste politique et travailleur social basé à Varsovie, passe cinq semaines à Zbaszyn pour organiser une assistance aux réfugiés bloqués à la…
Janusz Korczak (au centre) et Sabina Lejzerowicz (à sa droite) posent avec des enfants et de jeunes membres du personnel dans l’orphelinat de Korczak à Varsovie, vers 1930–1939. Même quand les enfants seront envoyés vers une mort certaine à Treblinka, en 1942, Janusz Korczak et ses employés ne les abandonneront pas.
Visiteurs à l’exposition « Art dégénéré » (Entartete Kunst) au Hofgarten de Munich en juillet 1937. On y voit, entre autres, des œuvres de Lovis Corinth et de Franz Marc.
Jeunes survivants au camp de concentration de Buchenwald peu après la libération. Allemagne, avril-juin 1945.
Gros plan de Dawid Samoszul pris dans la rue, probablement à Piotrkow Trybunalski (Pologne) entre 1936 et 1938. Dawid a été tué au centre de mise à mort de Treblinka à l'âge de 9 ans.
Des Juifs de Ruthénie Subcarpathique (Ukraine transcarpathique) descendent du train de déportation et se rassemblent sur la rampe du centre de mise à mort d'Auschwitz-Birkenau, en Pologne occupée. Mai 1944.
Un groupe de jeunes filles posent dans une cour de la ville d'Eisiskes. Les Juifs de ce village ont été assassinés par les Einsatzgruppen le 21 septembre 1941. Photo prise avant septembre 1941.
Anna Gutman (Boros) (à gauche) et sa fille, Carla (2e à partir de la gauche), rendent visite au Dr Mohamed Helmy (3e à partir de la gauche) et son épouse (à droite), à Berlin en 1968. Le médecin avait caché Anna Gutman chez lui pendant toute la durée de la Seconde Guerre mondiale.
Anna Gutman (Boros) (assise, au centre), sa fille et son gendre rendent visite au Dr Mohamed Helmy (assis, à gauche) et son épouse Emmi (assise, à droite) à Berlin en 1980. Le médecin avait caché Anna Gutman chez lui pendant toute la durée de la Seconde Guerre mondiale.
Portrait du Dr Mohamed Helmy, un médecin égyptien vivant à Berlin. Avec Frieda Szturmann, une Allemande, il a œuvré pour sauver une famille juive.
Le Dr Mohamed Helmy et sa femme, Emmi Ernst. Pendant la période nazie, le couple n'avait pas le droit de se marier, car le médecin n'était pas aryen. Ce n'est qu'après la Seconde Guerre mondiale qu'il a pu l'épouser.
Des brancardiers emmènent un soldat blessé à la bataille de la Somme, pendant la Première Guerre mondiale. France, septembre 1916. IWM (Q 1332)
Adolf Hitler prend la parole lors d'un rassemblement de SA. Dortmund, Allemagne, 1933.
Le médecin nazi Carl Clauberg (à gauche), qui a effectué des expériences médicales sur des prisonniers dans le Bloc 10 du camp d'Auschwitz. Pologne, entre 1941 et 1944.
À bord de barges, les troupes d'assaut s'approchent d'Omaha Beach le jour du Débarquement. Normandie, France, 6 juin 1944.
Père Jacques de Jésus (né Lucien Bunel) était un prêtre carme, directeur du collège catholique pour garçons d'Avon (Seine-et-Marne). Contrarié par la politique nazie, il fit de son école un refuge pour les jeunes qui tentaient d'échapper aux travaux forcés, et pour les Juifs. Le 15 janvier 1944, la Gestapo fouilla les lieux et arrêta le Père Jacques ainsi que trois enfants juifs. Ceux-ci furent déportés et tués à Auschwitz. Le Père Jacques fut envoyé dans divers camps de concentration et…
Des spectateurs acclament les formations SA qui défilent le jour du Reichsparteitag (Congrès du parti nazi) à Nuremberg.
Un technicien choisit le maquillage racial d'une jeune femme en fonction de la couleur de ses cheveux.
Diapositive de propagande comparant une personne métisse (à gauche) et un jeune « Aryen » en bonne santé (à droite).
Portrait de la famille Weidenfeld portant l'étoile jaune dans le ghetto de Czernowitz (Cernauti), peu après leur déportation de Transnitrie. De gauche à droite : Yetty, Meshulem-Ber, Sallie et Simche Weidenfeld. Cernauti, Roumanie, octobre 1941.
Des prisonniers défilent dans la cour du quartier général de la Gestapo, à Nuremberg. La légende originale de la photographie est : « Cour du QG de la Gestapo, Nurnberg. Il semble que ce soient des Français emmenés aux travaux forcés en Allemagne. »
Portrait d'un groupe de femmes et d'enfants, à l'extérieur, à Varsovie avant la guerre. Varsovie, Pologne, vers 1938.
La persécution des Juifs et d'autres groupes pris pour cibles fait partie de la politique allemande dès la prise de pouvoir par les Nazis en 1933. Mais après l'invasion par l'Allemagne de la Pologne le 1er septembre 1939, le conflit ouvre des perspectives de mesures encore plus extrêmes et renforce sa motivation. Le 80e anniversaire du début de la guerre donne l'occasion de réfléchir sur des questions fondamentales quant à son rôle. Quelles possibilités le conflit commençant apportait-il ?
Messager clandestin au service du gouvernement polonais en exil, Jan Karski fournit aux Alliés des preuves du meurtre de masse des Juifs européens. Il rapporte également les atrocités nazies commises dans le ghetto de Varsovie et la déportation des Juifs vers des centres de mise à mort.
Thomas grandit dans une famille juive hongroise. Quand il avait 6 ans, ils déménagèrent à Paris, expulsés de leur pays en raison des critiques véhémentes de son père envers le gouvernement fasciste et ses attaches au Parti communiste hongrois. Celui-ci était professeur de langues modernes et put aider Thomas à maîtriser le français rapidement. Excellent élève à l'école, le jeune garçon s'intéressait particulièrement à la poésie et la musique. 1933-39 : Le père de Thomas décriait…
We would like to thank Crown Family Philanthropies, Abe and Ida Cooper Foundation, the Claims Conference, EVZ, and BMF for supporting the ongoing work to create content and resources for the Holocaust Encyclopedia. View the list of donor acknowledgement.