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Le Journal d'Anne Frank constitue pour beaucoup le premier aperçu de l'histoire de la Shoah, et souvent le seul. Soigneusement écrit à la main pendant les deux ans qu'elle vit dans la clandestinité, le journal d'Anne reste l'un des ouvrages documentaires les plus lus au monde. La jeune fille est devenue un symbole de la promesse perdue que sont les enfants, plus d'un million d'entre eux, morts au cours de la Shoah.
Ensemble, le Dr Mohamed Helmy, médecin égyptien vivant à Berlin, et Frieda Szturmann, une Allemande, ont œuvré pour sauver une famille juive au cœur de l'Allemagne nazie. Dr Helmy fut le premier Arabe à recevoir le titre de Juste parmi les nations.
Recommandations de ressources et de thèmes d'études si vous disposez de peu de temps pour enseigner la Shoah.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, Nikolaus « Klaus » Barbie est le chef de la Gestapo à Lyon, alors un centre vital de la Résistance française. Il est responsable de l'exécution ou du meurtre de plus de 4000 individus et de la déportation de 7500 Juifs, dont la majorité a péri à Auschwitz. Après la guerre, Barbie travaille pour les services de renseignement américains, avant de s'échapper en Amérique du Sud. Il est extradé en France en 1983 où il est jugé pour crimes de guerre.
Le terme « Holocauste » désigne la persécution et l’annihilation systématiques, soutenues par l’État, des Juifs d’Europe par l’Allemagne nazie et ses collaborateurs, entre 1933 et 1945. Les Juifs en furent les principales victimes — six millions d’entre eux furent assassinés. Les Tsiganes, les personnes souffrant de handicaps physiques et mentaux, et les Polonais furent également la cible d’anéantissement ou de destruction pour des raisons raciales, ethniques ou nationales. Des…
Malgré la peur ou l'indifférence de la plupart des Européens, une minorité courageuse risqua sa vie pour les Juifs dans l'Europe occupée par les nazis. Les sauvetages prirent des formes variées. À l'automne 1943, le mouvement de résistance danois transféra par bateau la quasi-totalité de la population juive du Danemark en Suède, pays neutre et sûr. Dans d'autres pays, des églises, des orphelinats et des familles cachèrent des Juifs ou aidèrent ceux qui vivaient déjà en cachette. Le…
Avant la Seconde Guerre mondiale, Varsovie était un lieu central de vie et de culture juives en Pologne. Pendant la guerre, les Nazis mirent en place des ghettos et forcèrent la population juive à y vivre de manière misérable dans des endroits surpeuplés. À son apogée, le ghetto de Varsovie, le plus grand d'Europe, contenait plus de 400 000 Juifs qui luttaient quotidiennement pour leur survie.
À Lodz se trouvait la deuxième plus large population juive de la Pologne d'avant-guerre, après Varsovie. Les troupes allemandes occupèrent la ville en septembre 1939. Début février 1940, ils y établirent un ghetto sur une surface d'à peine quatre kilomètres carrés où durent s'entasser plus de 150 000 Juifs. En 1941 et 1942, près de 40 000 Juifs d'Europe centrale ainsi que 5000 Tsiganes furent aussi forcés à y vivre. Entre janvier et septembre 1942, plus de 75 000 résidents du ghetto…
La Shoah (ou Holocauste) décrit l'extermination de six millions de Juifs ainsi que des millions d'autres personnes par le régime nazi et ses collaborateurs au cours de la Seconde Guerre mondiale. Les meurtres de masse commencèrent en juin 1941 quand des civils juifs furent abattus pendant l'invasion allemande de l'Union soviétique. À la fin de cette année, les Allemands se mirent à déporter les Juifs vers des centres de mise à mort en Pologne occupée. En mai 1945, environ deux tiers des Juifs…
Auschwitz joua un rôle central dans la « Solution finale », le projet d'extermination des Juifs d'Europe élaboré par les Nazis, qui déportèrent des Juifs de pratiquement tous les pays d'Europe vers le centre de mise à mort d'Auschwitz II (Birkenau), en Pologne occupée. En tout, ce furent au moins 1,1 million d'entre eux ainsi que des dizaines de milliers d'autres personnes qui y périrent.
La persécution des Juifs et d’autres groupes ne résulte pas seulement des mesures prises par Hitler et des Nazis fanatiques. Les dirigeants nazis ne peuvent se passer de l’aide ou de la coopération d'employés de diverses professions, qui souvent ne sont eux-mêmes pas des Nazis convaincus. C’est notamment le cas des chefs d’entreprises.
La persécution des Juifs et d’autres groupes ne résulte pas seulement de mesures prises par Hitler et des Nazis fanatiques. Les dirigeants nazis ne peuvent se passer de l’aide ou de la coopération d’employés de diverses professions, qui souvent ne sont eux-mêmes pas des Nazis convaincus. C’est notamment le cas des fonctionnaires, depuis l’administration jusqu'à la justice. Ils contribueront à la rédaction, à la mise en œuvre et à l’application des lois visant à priver les Juifs de…
La persécution des Juifs et d’autres groupes ne résulte pas seulement des mesures prises par Hitler et des Nazis fanatiques. Les dirigeants nazis ne peuvent se passer de l’aide ou de la coopération d’employés de diverses professions, qui souvent ne sont eux-mêmes pas des Nazis convaincus. La profession médicale allemande joue notamment un rôle central dans la définition et la mise en œuvre de multiples politiques du régime. Les médecins et le personnel infirmier sont nombreux à soutenir…
La persécution des Juifs et d’autres groupes ne résulte pas seulement des mesures prises par Hitler et des Nazis fanatiques. Les dirigeants nazis ne peuvent se passer de l’aide ou de la coopération d’employés de diverses professions, qui souvent ne sont eux-mêmes pas des Nazis convaincus. Ainsi, face à la persécution des Juifs, les chefs religieux et des membres de l’élite conservatrice susceptibles d’influer sur l’opinion publique resteront pratiquement silencieux.
La persécution des Juifs et d’autres groupes ne résulte pas seulement des mesures prises par Hitler et des Nazis fanatiques. Les dirigeants nazis ne peuvent se passer de l’aide ou de la coopération d’employés de diverses professions, qui souvent ne sont eux-mêmes pas des nazis convaincus. La police allemande joue notamment un rôle vital, d’une part dans la consolidation du pouvoir des Nazis et d’autre part dans la persécution et le meurtre des Juifs et d’autres groupes.
La persécution des Juifs et d’autres groupes ne résulte pas seulement de mesures prises par Hitler et des Nazis fanatiques. Les dirigeants nazis ne peuvent se passer de l’aide ou de la coopération d’employés de diverses professions, qui souvent ne sont eux-mêmes pas des Nazis convaincus. L’armée joue notamment un rôle vital, d’une part dans la consolidation du pouvoir et d’autre part dans la persécution et le meurtre de Juifs et d’autres groupes.
Entre 1933 et 1945, l’Allemagne nazie et ses alliés créent plus de 44 000 camps et autres sites d’internement (dont des ghettos). Ils servent de multiples objectifs, notamment le travail forcé, la détention d’« ennemis de l’État » et l’extermination massive. Des millions de personnes y ont souffert, y ont péri ou y ont été tuées. Dachau, le camp qui a été utilisé le plus longtemps, fait partie de ces sites.
Martin Niemöller (1892-1984) est un pasteur luthérien important en Allemagne. Dans les années 1920 et 1930, il est sensible à de nombreuses idées nazies et soutient des mouvements politiques d’extrême droite. Mais après l’arrivée d’Adolf Hitler au pouvoir en 1933, il critique ouvertement les interventions du führer dans les affaires de l’Église protestante. Il passera les huit dernières années du règne des nazis, de 1937 à 1945, en prison et dans des camps de concentration. Martin…
Le médecin SS Josef Mengele mène des expériences médicales inhumaines, fréquemment mortelles, sur des prisonniers d’Auschwitz, ce qui fera de lui le scientifique nazi le plus notoire à avoir expérimenté sur des patients du camp. On le surnommera « l’ange de la mort ». Ceux qui se souviennent de lui mentionnent souvent sa présence sur la rampe de sélection à Auschwitz.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, l’homme d’affaires Oskar Schindler sauve plus de 1 000 Juifs de la déportation vers Auschwitz, le plus grand complexe concentrationnaire de l’Allemagne nazie.
Le Tribunal militaire international de Nuremberg - Photographie Le procès des principaux responsables allemands devant le Tribunal militaire international (TMI) est le plus célèbre des procès pour crime de guerre tenus après la Seconde Guerre mondiale. L'ouverture officielle eut lieu à Nuremberg, en Allemagne, le 20 novembre 1945, seulement six mois et demi après la capitulation du pays. Chacune des quatre grandes nations alliées (les États-Unis, la Grande-Bretagne, l’Union soviétique et la…
La libération des camps - Photographie Au fur et à mesure de leurs offensives contre l'Allemagne nazie en 1944 et 1945, les troupes alliées avançaient sur le continent européen et découvraient camps de concentration, charniers et autres crimes perpétrés par les Nazis. Majdanek, situé près de Lublin, en Pologne, fut libéré en premier. Les Soviétiques y trouvèrent des prisonniers qu'on avait laissés là quand le personnel avait évacué les lieux à l'été 1944, ainsi que de solides preuves…
En novembre 1941, les autorités allemandes commencèrent la construction d'un centre de mise à mort sur le site d’un ancien camp de travail à environ 110 km au sud-est de Lublin. Pendant la Seconde Guerre mondiale, cette région de la Pologne occupée faisait partie du District de Lublin, au sein du Gouvernement général. Belzec, le deuxième centre de mise à mort allemand (après Chelmno), fut opérationnel de manière massive le 17 mars 1942. Entre mars et décembre 1942, les Allemands y…
Le programme d'euthanasie - Photographie Le terme « euthanasie » (littéralement « bonne mort ») fait habituellement référence à une pratique visant à provoquer la mort douce d'un malade atteint de maladie chronique ou en phase terminale afin de l’empêcher de souffrir. Cependant dans le contexte nazi, l’« euthanasie » était un euphémisme désignant un programme clandestin d’extermination de handicapés qui vivaient en institution en Allemagne et dans les territoires annexés.…
Les centres de mise à mort - Notice biographique/Témoignage video Les centres de mise à mort furent créés par les nazis en Pologne annexée et occupée pour mettre en œuvre la « Solution finale ». Contrairement aux camps de concentration, qui servaient essentiellement de centres de détention et de travail, les centres de mise à mort (également appelés « camps d'extermination », « camps de mise à mort » et « camps de la mort ») furent presque exclusivement des…
Les procès des criminels de guerre - Photographie Après la Seconde Guerre mondiale, des tribunaux nationaux, internationaux et militaires jugèrent des dizaines de milliers de personnes accusées d'être des criminels de guerre. Le plus célèbre d'entre eux fut celui de 22 criminels de guerre « majeurs » inculpés de crimes contre la paix, crimes de guerre et crimes contre l'humanité devant le Tribunal militaire international (TMI). Le procès se tint à Nuremberg, en Allemagne, du 18 octobre…
Sobibor - Notice biographique/Témoignage video Au cours du printemps 1942, les SS et les policiers allemands construisirent le centre de mise à mort de Sobibor dans une région marécageuse et faiblement peuplée, à environ cinq kilomètres à l'ouest du fleuve Bug, près de l’actuelle frontière orientale de la Pologne. À son maximum, le camp occupait une superficie de 600 mètres de long sur 400 de large. Le site était dissimulé par des arbres plantés tout autour et entouré d'un champ de…
Treblinka - Photographie En novembre 1941, les autorités allemandes créèrent un camp de travail forcé connu plus tard sous le nom de Treblinka I, à environ 80 kilomètres au nord-est de Varsovie, en Pologne occupée. En juillet 1942, elles achevèrent la construction d’un centre de mise à mort, Treblinka II. On estime qu'entre juillet 1942 et novembre 1943, les Allemands et leurs collaborateurs assassinèrent à Treblinka environ 925 000 Juifs, ainsi qu'un nombre indéterminé de Polonais, de…
Le camp de Majdanek, appelé également Lublin-Majdanek, était situé dans le faubourg Majdan Tatarski de la ville de Lublin du Gouvernement général de Pologne. Outre Majdanek, il existait à Lublin d'autres camps relevant de l'autorité de la SS et du chef de la police du district de Lublin, le major général SS Odilo Globocnik. Dans ces camps, les détenus travaillaient principalement pour les usines d'armement. Majdanek fut aussi un centre de mise à mort pour de nombreuses victimes, au nombre…
Entre 1933 et 1945, l'Allemagne nazie et ses alliés mettent en place plus de 44 000 camps et lieux d'incarcération (ghettos compris). Les auteurs des crimes utilisent ces sites à des fins diverses, notamment : le travail forcé, la détention de supposés « ennemis de l'État », et le meurtre de masse. Des millions de gens y endurent des souffrances et y meurent, ou bien y sont tués. L'un de ces sites est le camp de transit de Drancy, en France.
La Shoah désigne la persécution et l'extermination systématiques et cautionnées par l'État de 6 millions de Juifs d'Europe par le régime allemand nazi, ses alliés et ses collaborateurs. Le Musée commémoratif américain de l'Holocauste (USHMM) utilise le terme d'Holocauste (Holocaust) et en définit la période entre 1933 et 1945 : 1933 lorsqu'Adolf Hitler et le Parti nazi accèdent au pouvoir en Allemagne, jusqu'en 1945 et la défaite de l'Allemagne nazie contre les puissances alliées à la…
Au cours de l’été 1941, après l’attaque allemande contre l’Union soviétique, les Allemands commencent à perpétrer l’exécution de masse d’hommes, de femmes et d’enfants juifs dans les territoires pris aux forces soviétiques. Ces assassinats font partie de la « Solution finale à la question juive », le meurtre de masse des Juifs d’Europe.
Certains Juifs survécurent à la « Solution finale », le programme nazi d'extermination des Juifs d'Europe, en se cachant ou en fuyant le continent occupé par l'Allemagne. Quant aux non-Juifs, la plupart n'intervinrent pas. Seul un nombre restreint de personnes aidèrent les Juifs à s'échapper, motivés par leur opposition au racisme du régime, par la compassion, ou par des principes religieux ou moraux. Dans de rares cas, ce sont des communautés entières, ainsi que des individus, qui…
Les Juifs formaient l'un des quatre groupes ciblés et persécutés dans l'Allemagne nazie et l'Europe qu'elle dominait. Groupes ciblés pour raisons raciales Si l'idéologie nazie considérait les Juifs comme cible principale et ennemis de l'Allemagne, elle ciblait également les Tsiganes en fonction de motifs raciaux. Les lois de Nuremberg de 1935 (qui caractérisaient les Juifs selon leur sang) s'appliquèrent à eux aussi. S'inspirant de préjugés bien ancrés dans la société allemande, définis…
Pendant la Seconde Guerre mondiale, dans l'Europe occupée par l'Allemagne, le centre de mise à mort était un lieu établi dans le but principal ou exclusif d'exterminer de manière systématique et organisée des êtres humains en masse. Les quelques prisonniers sélectionnés pour survivre, temporairement, servaient cet objectif aussi, d'une manière ou d'une autre. Les centres de mise à mort sont parfois également désignés comme des « camps d'extermination » ou « camps de la…
À la fin de la guerre en 1945, six millions de Juifs d'Europe ont péri, morts dans la Shoah. Environ 1,5 million des victimes sont des enfants. Cependant, certains ont pu survivre parce qu'ils s'étaient cachés. Après un changement d'identité et souvent physiquement maintenus à l'écart du monde extérieur, ces jeunes ne cessent d'affronter la peur, les difficultés et un grand danger.
Au cours de la Shoah, certains enfants doivent vivre cachés pour échapper aux persécutions nazies. Après un changement d'identité et souvent physiquement maintenus à l'écart du monde extérieur, ces jeunes ne cessent d'affronter la peur, les difficultés et un grand danger. Leur vie se déroule dans l'ombre, où une remarque imprudente, une dénonciation ou les murmures de voisins curieux peuvent mener à être découvert et tué.
Pendant toute la Shoah, des artistes et écrivains juifs relatèrent avec passion de ce qu'ils vivaient dans les camps, les ghettos, les forêts et autres lieux secrets. Les occasions d'exprimer leurs joies, leurs douleurs, leurs désirs, leurs colères et leurs peines dans des créations littéraires et artistiques, tout comme le matériel pour le faire, étaient fortement limitées. Il n'en reste pas moins qu'une somme impressionnante d'œuvres, réalisées tant par des adultes que des enfants, ont…
Au cours de la Shoah, certains enfants doivent vivre cachés pour échapper aux persécutions nazies. Après un changement d'identité et souvent maintenus physiquement à l'écart du monde extérieur, ces jeunes ne cessent d'affronter la peur, les difficultés et un grand danger. Les enfants cachés et leurs sauveteurs doivent surmonter d'énormes obstacles et de terribles épreuves.
Au cours de la Shoah, certains enfants doivent vivre cachés pour échapper aux persécutions nazies. Après un changement d'identité et souvent physiquement maintenus à l'écart du monde extérieur, ces jeunes ne cessent d'affronter la peur, les difficultés et un grand danger. Après la guerre, les parents juifs seront nombreux à rechercher, des mois et des années durant, les enfants qu'ils avaient placés dans la clandestinité.
Au cours de la Shoah, certains enfants doivent vivre cachés pour échapper aux persécutions nazies. Après un changement d'identité et souvent physiquement maintenus à l'écart du monde extérieur, ces jeunes ne cessent d'affronter la peur, les difficultés et un grand danger. Leur vie se déroule dans l'ombre, où une remarque imprudente, une dénonciation ou les murmures de voisins curieux peuvent mener à être découvert et tué.
Les décrets ordonnant aux Juifs de porter un insigne particulier dans le but de les identifier ne sont pas propres à l'époque nazie. Pendant plus de dix siècles, des califes musulmans, des évêques du Moyen Âge et enfin des leaders du Troisième Reich s'en sont servi pour les distinguer.
Sous Adolf Hitler, le régime nazi aspirait à changer le patrimoine génétique de la population en recourant à « l'hygiène raciale » et « l'eugénisme ». Nombre des scientifiques spécialisés dans la biomédecine, notamment les anthropologues, les psychiatres et les généticiens, avaient une solide formation médicale. Ils jouèrent un rôle dans la légitimation de cette politique et contribuèrent à sa mise en œuvre. Déjà avant la prise de pouvoir d'Hitler en 1933, ils adhéraient…
Le Jour J, ou jour du Débarquement en Normandie, le 6 juin 1944, représente l'une des opérations militaires les plus importantes pour le succès des Alliés pendant la Seconde Guerre mondiale. Jusqu'à la fin juin, ce sont plus de 850 000 troupes américaines, britanniques et canadiennes qui ont débarqué sur les plages normandes.
Dissuadés par l'indifférence, l'antisémitisme et la peur, relativement peu de gens ont sauvé des Juifs dans l'Europe occupée par les Allemands au cours de l'Holocauste. Parmi ceux qui ont risqué la prison, parfois la mort, pour venir à leur secours se trouvent des membres du clergé. En effet, grâce à eux, des milliers d'enfants juifs furent cachés dans des institutions religieuses ou dans des familles. C'est le cas de Père Bruno, un moine bénédictin, qui sauva plus de 300 Juifs en Belgique.…
Les partisans d'idéologies politiques utilisent certains termes, phrases et images pour exprimer leurs croyances et séduire les sympathisants potentiels. Pour les Nazis, certains mots et symboles servaient à communiquer la vision d'une « race maîtresse » qui dominerait l'Europe et vaincrait ses ennemis, notamment les Juifs. Pour comprendre les desseins des néo-nazis et des organisations de suprémacistes blancs dans le monde d'aujourd'hui, il faut absolument déchiffrer l'histoire de ces mots…
Le 27 janvier a été désigné « Journée internationale dédiée à la mémoire des victimes de l'Holocauste » par l'Assemblée générale des Nations Unies. Depuis 2005, les États membres organisent des cérémonies pour marquer l'anniversaire de la libération d'Auschwitz-Birkenau, et pour honorer les six millions de victimes de l'Holocauste et les millions d'autres sous le régime nazi.
Les fonctionnaires nazis mettent en place le port systématique d'un insigne permettant d'identifier les Juifs entre 1939 et 1945, annonçant la déportation de ceux-ci vers les centres de mise à mort et les ghettos de l'Europe de l'Est occupée par les Allemands.
Le camp des Milles sert de camp d'internement entre 1939 et 1942. Il a été créé sous la Troisième République pour enfermer les ennemis étrangers au cours de la Drôle de Guerre, surnom moqueur du conflit sans presque aucun combat des premiers mois de la Seconde Guerre mondiale, à l'ouest de l'Europe. Avec le régime de Vichy, Les Milles devient un camp pour les Juifs étrangers en attente de quitter le pays ou, dans la plupart des cas, qui allaient être déportés vers des camps de concentration…
La rafle du Vél' d'Hiv' (Vélodrome d'Hiver) représente la plus importante vague de déportation de Juifs au cours de l'Holocauste. Elle se déroula les 16 et 17 juillet 1942.
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